Hardanges - Tome II

Hardanges, con du Horps (10 kil.) ; arrond. de Mayenne (18 kil. E.-N.-E.) ; à 48 kil. de Laval.

Ecclesia de Hardengea, v. 1170 (Cart. de la Couture, p. 89). — J. de Hardengeia, v. 1184 (Ibid., p. 113). — In Hardangia, 1205 (Cart. de Fontaine-Daniel, p. 29). — Hardenge, XIIIe s. (Cart. de la Couture, p. 214). — Hardenge, 1312 (Bibl. nat., fr. 8.736). — Ecclesia Sancti Petri de Hardenge, XIVe s. (Pouillé). — Ecclesia de Hardengia, XVe s. (Pouillé). — Nemus Hardengie, 1504 (Lib. fundat., t. II, p. 396). — Hardange (Jaillot, Cassini). On voit que la forme plurielle est toute moderne.

Géologie. — « La commune est divisée géologiquement et topographiquement en deux parties distinctes, l'une et l'autre très différentes au point de vue agricole. Au nord, des collines forment une crête élevée (Le Saule 327, Saint-Louis, 302, La Landelle, 312), avec landes couvertes de bruyères, auxquelles sont venus s'ajouter des sapins plantés récemment. Au pied de cette crête, se trouvent des parties marécageuses et tourbeuses, limitées au sud par une série de petits mamelons, désignés dans le pays sous le nom de tertres (Tertre-Ysois, Tertre-Martin). Toute la région méridionale, dont la fertilité contraste avec la partie septentrionale de la commune, est en schistes granitisés recouverts sur certains points par des sables et des grès éocènes. La crête du Mont du Saule, qui se continue avec les hauteurs de Saint-Louis et de La Landelle, est en grès armoricain ; elle forme une crête saillante qui domine, au nord et surtout au sud, tout le reste du pays ; elle atteint au Signal du Mont du Saule le point culminant de la région (327). Sur le versant sud, des schistes fossilifères de la faune seconde (Calymene Tristani), se montrent à la Fosse-aux-Sarrasins, au N. de la Biderie et au Saule. Le grès de l'Ordovicien moyen (grès de May) et les schistes à Trinucleus prennent un grand développement au Gué-du-Saule et au Ménil pour revenir sur eux-mêmes en passant par le Tertre Ysois et la butte de Racinet (302), enserrant l'extrémité du synclinal de Villaines qui se ferme en conservant dans son centre les grès gothlandiens et les schistes ampéliteux avec graptolithes (Les Aulnais, et la dépression de Petit-Etre et des Rigadinières). — Au N.-O. du bourg, les schistes à Calymene sont fossilifères, entre la crête de Bel-Air, les buttes de la Rocherie et du Tertre-Martin, formées par une bande sinueuse de grès armoricain, au-dessous de laquelle se trouvent des roches pouvant être considérées comme cambriennes. Le synclinal silurien qui existe au N. d'Hardanges a son flanc sud coupé brusquement par une faille, qui met eu contact avec les schistes précambriens granitisés, tantôt le grès armoricain, tantôt les schistes à Calymene, tantôt les grès de l'Ordovicien moyen. Les schistes granitisés du sud ont conservé généralement leur structure primitive : des cristaux de feldspath et de quartz s'étant seulement développés entre leurs feuillets ; ces schistes se relient au granite de Champgeneteux, auquel ils passent insensiblement. — Dans la vallée que suit le chemin de fer de Mayenne à Alençon, se trouvent des dépôts de sables avec blocs de grès éocènes, se rattachant à l'important dépôt lacustre qui contournait le massif de Vaux et s'avançait dans la vallée de l'Aron entre Marcillé et Grazay. Ces grès à grains grossiers, perforés de cavités tubulaires laissées par des racines, et ayant une surface irrégulièrement mamelonnée, couvrent le sommet de la butte du Boulays (Pierre-aux-Renards) ; on les retrouve aux Rochers et sur les deux côtés de la ligne, à l'O. de la station d'Hardanges, dans les landes de Fossay. Les blocs qui existaient dans la lande de la Trébuchère ont été exploités lors de la construction de la ligne ; ils ont entièrement disparu. » D.-P. Œ.

Le territoire occupe le versant méridional des hautes collines dont les sommets vêtus de bruyères (302, 312, 327 m.) marquent la séparation des bassins de l'Aisne au N. et de l'Aron au S. Jusqu'à 1 kil. N. du bourg les buttes atteignent encore 278, 292 et 302 m. Le bourg est à 200 m. environ, dominant encore de 70 m. le cours du ruisseau qui marque la limite S. et où se recueillent par deux affluents presque toutes les eaux de ces vallons accidentés. — Une voie de Jublains vers le N.-E., reconnaissable sur plusieurs points, traversait Hardanges. Jaillot fait passer au S. du bourg la route de Villaines à Mayenne. Actuellement, le bourg est relié par des chemins divers à : Loupfougères (4 kil. E.) ; Champgeneteux (5.500 m. S.-E.) ; la Chapelle-au-Riboul (4 kil. S.-O.) ; le Horps (10 kil. N.-O.) ; le Ribay (6 kil. N.) ; le Ham (6 kil. N.-N.-E.). La ligne ferrée de Mayenne à Pré-en-Pail traverse la pointe S. avec halte.

Superficie, cadastrée en 1839 par M. Félix Poupinet, 1.846 hect. — « Terre à méteil et menus grains, d'après Miroménil (1696) ; quantité de landes ; 20 métairies, 30 bordages ». Au XIIIe s., Renaud d'Hardanges tenait 3 arpents de vignes de l'abbé de la Couture. La forêt d'Hardanges appartenait d'abord au seigneur de Mayenne, qui concéda droit d'usage à Fontaine-Daniel pour la grange de la Lorrie en 1205, puis au seigneur de Lassay qui laissa en 1282 le droit de justice à l'Ermitage d'Hardanges (paroisse du Ribay). Ces bois très considérables, ravagés par les usagers comme partout, ne laissèrent avec le temps sur le sol que des bruyères ; plus de 2.000 hectares s'étendaient sur les paroisses d'Hardanges, du Ribay et du Ham. Le feu y ayant été mis par imprudence, le dimanche 3 mai 1840, consuma 400 journaux de bruyères et d'ajoncs en sept heures. On en compte encore 700 hect. sur Hardanges, malgré un essai de défrichement entrepris sur une vaste échelle en 1854 par M. Louis Pouteau. Le grand logis qu'il avait nommé Saint-Louis et que le public surnommait Trompe-Souris, passé en d'autres mains, a été remplacé par les bâtiments de deux fermes, dites la Verdrie et la Pierre-Aiguë.

Tourbières à la Vaugonnière, exploitées par les riverains jusque vers 1850. — Les landes communales étaient semées de loges concédées à ceux qui les demandaient, pour une redevance très modique suivant l'étendue de l'emprise. Les dernières concessions ont été supprimées il y a vingt ans.

Population. — 151 feux en 1696 ; — 650 hab. en 1726 ; — 600 communiants en 1780 ; — 146 feux en 1789 ; — 824 hab. en 1803 ; — 812 hab. en 1821 ; — 862 hab. en 1831 ; — 945 hab. en 1841 ; 953 hab. en 1851 ; — 915 hab. en 1861 ; — 886 hab. en 1871 ; — 855 hab. en 1881 ; — 874 hab. en 1891 ; — 808 hab. en 1898, dont 180 agglomérés dans le bourg et le reste disséminé en 52 villages, fermes, closeries ou écarts. On comptait 71 fermes en 1843. Plusieurs closeries comme la Hairie, les Cosnardières, la Hamelière, la Guillemettrie, la Guermondière, etc., ont été annexées aux fermes voisines. En dépendent : les Aunais, 26 hab. ; la Berrachère, 24 h. ; les Bordeaux, 37 hab. ; la Chasseguerre, 30 h. ; la Gaugainière, 20 hab. ; le Mesnil, 23 hab. ; les Morinières, 23 hab. ; la Pichardière, 23 hab. ; la Quesnière, 38 hab. ; la Rongère, 28 hab. ; le Saule, 27 hab. ; la Thébaudière, 22 hab.

Bureau de poste du Ribay ; perception du Horps. — Notaire.

Assemblée à la Saint-Pierre. Le seigneur du Layeul avait droit d'étalage à la foire de ce jour, 1650.

Paroisse, anciennement de l'archidiaconé de Passais, du doyenné de Javron ; — de l'élection du Mans, du ressort judiciaire de Lassay et de Villaines, du grenier à sel de Mayenne ; — du district de Mayenne et du canton de Champéon, en 1790 ; — de la Mission de Mayenne en 1797, érigée en succursale par décret du 5 nivôse an XIII, de l'archiprêtré de N.-D. de Mayenne et du doyenné du Horps.

L'église, dédiée à saint Pierre, à chevet carré, pinacle à double baie sur la façade, petites fenêtres romanes dans la nef, pouvait encore être reconnue comme une œuvre du XIe ou du XIIe s., il y a quelques années. Une tour avec flèche en ardoise a remplacé le pinacle vers 1828. Tout l'édifice vient d'être entièrement restauré et en partie renouvelé sous la direction de M. Tessier, de Mayenne. En 1724, Michel Loison, de Chevaigné, refit pour 75  le pignon et la porte. Les deux côtières, prêtres à tomber, furent reprises entièrement du côté du midi, sur une longueur de 24 pieds au nord, en 1743, par François Lebossé ; et une nouvelle chapelle, construite au nord, fut bénite avec le tableau du Baptême de Jésus-Christ le 1er août 1773. — Bénédictions de cloches : l'une, le 3 décembre 1711, nommée Anne par Brandelis de Champagne ; l'autre, le 25 mai 1784. On signale en 1707 les autels de la Sainte-Vierge et de Saint-Sébastien. L'église possède un calice de style Henri IV et un beau Christ en ivoire.

La chapelle de la Morière fondée le 15 mai 1504 par Jean Mesnaige, prêtre, dotée des lieux de la Morière et de la Métairie et d'une maison dans le bourg, était chargée de deux messes à l'autel Saint-Pierre. Ce bénéfice contribua dans la suite à la dotation de l'école. — Plusieurs messes du Saint-Sacrement par mois étaient fondées depuis 1663.

La confrérie de la Conception de la Sainte-Vierge existait en 1681.

Les jeunes gens, costumés en « moumons et follets », avaient l'habitude de se rendre aux noces, où ils occasionnaient quelquefois des désordres.

Cure, à la présentation de l'abbé de la Couture.

Curés : Robert de Milon, clerc, à qui l'abbé de la Couture donna l'église d'Hardanges, à la prière du seigneur de Sourches, vers 1170. — Robert de Curtine écrit à l'abbé de la Couture qu'il a droit à deux parts de la dîme des fruits, des prémices et des oblations aux cinq fêtes annuelles, XIIIe s. ; il faisait desservir la cure par un prêtre. — Gervais Foulques, avant 1483. — Jean Budes, en procès devant le parlement, 1483. — Clément Graserpain, du diocèse de Clermont, permute, 1548. — Jacques Le Vassor, du diocèse de Chartres, chanoine de Saint-Paul de Narbonne, 15 juin 1548, démissionne, 1565. — René Laigneau, de Champgeneteux, 15 juin 1565, † 1569. — François Pannier, du diocèse de Rennes, octobre 1569. — Mathurin Laigneau, 1590. — Julien Pivaignon, 1610, inhumé le 8 avril 1629, âgé de soixante-quinze ans. — François ou Mathurin Gaugain, juin 1629, a pour compétiteur Jean Bazoge, qui résigne à Gabriel Lecomte, de Paris. — Simon Letourneux, † 1653. — François Louet, du diocèse de Bourges, 2 mars 1653, résigne le 15 mai suivant. — Jean Letourneux, 1653, inhumé dans l'église le 24 octobre 1691. — Antoine Amilhaut, du diocèse de Chartres, 30 octobre 1691, maintenu contre Pierre Regnard, demeurant à Villaines, † 1695. — Jacques Poirier, bachelier en théologie, demeurant à Paris, 16 janvier 1695, doyen rural de Javron, 1703, démissionnaire, 1725, inhumé dans l'église, le 8 octobre 1734. — Michel Poirier, vicaire de Montfort, originaire de Saint-Ellier, neveu du précédent, 7 février 1725, se démet, 1768, inhumé dans l'église, le 30 novembre 1769, âgé de soixante et onze ans. — Jean-Baptiste Grippon de la Motte, vicaire de la Chapelle-au-Riboul, 15 octobre 1768, inhumé après avoir résigné, le 23 octobre 1774. — Julien Tarot, vicaire d'Hardanges, 1er août 1774, « bon prêtre, taciturne, médiocrement instruit » (Note de l'évêché en 1780) ; inhumé le 17 novembre 1782. — Gabriel-Pierre Châtellier, vicaire de la Chapelle-au-Riboul, né à Passais, 1744, installé le 9 décembre 1782, assista à l'assemblée du Mans de 1789 et prêta, le 27 février 1791, un serment restrictif mais nettement catholique. Protégé par l'affection des habitants, il put, malgré la présence de l'intrus, administrer la paroisse, faire les baptêmes, mariages, sépultures jusqu'au 21 avril 1792 ; le directoire lui intima l'ordre ainsi qu'à son vicaire de se « rendre sur le champ à Laval, » où tous deux furent internés aux Cordeliers. Le 8 septembre suivant, M. Châtellier prit son passeport pour Jersey, rentra vers 1800 à Hardanges, et fut nommé au Concordat curé de la Poôté, mais n'accepta point. A la fin de 1803, son successeur, Michel Cibois, vicaire insermenté de Champ-fleur, fut transféré à Jublains et M. Châtellier fut réintégré dans sa cure, où il mourut le 1er octobre 1809. Michel Carré, vicaire et maître d'école, subit, pour la même cause, les mêmes persécutions que son curé et revint, à la paix, habiter la Chapelle-au-Riboul, sa paroisse natale, dont il fut nommé vicaire en 1803. A la fin de la Révolution, la paroisse fut évangélisée par MM. Lebert, Renard et Cibois. Joseph Monsallier, intrus, ex-dominicain de Laval, installé le 28 août 1791, resta sans ministère jusqu'au 1er février 1792, puis fut chassé par les habitants, qui ensuite demandèrent tous au directoire à conserver leurs pasteurs légitimes.

Alexandre-Pierre-Charles Tréton, 1809, † 1837. — Marin Héroux, 1837-1857. — Emmanuel Hardy, 1857-1863. — Michel Hachet (V. ce nom), 1863, † 1889. — Eugène de Valpinçon, 1889.

Le presbytère, augmenté d'un pavillon en 1628, « beau en bâtiments, cour, jardin », dit Davelu, a été reconstruit de 1891 à 1893, sur un devis de 15.000 fr. (architecte. Tessier).

Le cimetière, contigu à l'église, où un puits est signalé, 1724, a été transféré par ordre du préfet sur la route de Champgeneteux et béni le jour de la Quasimodo 1885.

Écoles. — En 1598, Brandelis de Champagne ajouta à la chapelle de la Morière un second bénéfice, dit de Marienne ou du Bourg, qui forma la dotation de l'école tenue par un prêtre. L'un des titulaires, Pierre Gruau, lui légua en 1698 le lieu du Racinay. Sous Louis Pinçon, nommé régent en 1736, l'école jouit d'une réputation régionale et prit le nom de collège. Les biens, mis sous séquestre en 1793, ont été vendus le 24 ventôse an X. — Mathurin Leboucher, prêtre, donna en 1720 la closerie de la Rocherie pour l'entretien de deux sœurs de la Chapelle-au-Riboul, et Julien Champmézières, maître de poste au Ribay, ajouta le 5 février 1779 une rente de 200  à la dotation première. La sœur Jeanne Deslandes, malgré la défense du directoire (29 mai 1792), continua ses fonctions, grâce à la sympathie des paroissiens, jusqu'en 1795. La Rocherie fut mise en vente le 13 janvier 1794. Cette école a été rouverte en 1806 par M. Michel Châtellier, curé. — L'école des garçons, laïque, ouverte en 1808, a été reconstruite sur les plans de M. Godin, architecte à Lassay, 1869-1871. M. Montagu y a formé un musée scolaire comprenant minéraux, fossiles, oiseaux, plantes, objets préhistoriques.

Le bureau de charité a un revenu de 332 fr.

Féodalité. — On cite quelques représentants d'une famille d'Hardanges, au XIIe s., dans les cartulaires de la Couture et de l'abbaye de Champagne. Hamelin de Sourches, qui disputait vers 1170 le patronage de l'église à l'abbé de la Couture, devait posséder des droits seigneuriaux sur la paroisse. Mais, dès le XIVe s. au moins la seigneurie de paroisse est unie au fief de la Chasseguerre. « Le droit de fondation en l'église et chapelle de Saint-Pierre d'Hardanges » est compris dans l'inventaire des biens saisis sur Hubert de Champagne en 1670.

Notes historiques. – Des haches néolithiques, deux haches en bronze trouvées à la Davière, un joli disque foré en silex, représentent pour Hardanges l'âge préhistorique ; quelques monnaies, une statuette et une cuiller en bronze, l'époque gallo-romaine. — La Fosse-aux-Sarrasins est un monument encore inexpliqué pour son origine et sa destination. — Chevrigné et le Layeul sont les seuls noms de forme ancienne. — Vers l'an 1170, l'abbaye de la Couture possédait dans l'église deux parts des oblations aux cinq fêtes annuelles, deux parts des prémices et des dîmes. Hamelin de Sourches disputait encore aux religieux le patronage de la cure, mais se désista.

Le cahier de 1789, signé par vingt-sept habitants, parmi lesquels Jacques Bruneau, procureur syndic, est d'un esprit très modéré, signale la mauvaise qualité du tabac, le défaut d'entretien des grandes routes, « déjà très mauvaises par endroits », et « une petite revente de sel où l'on vend le sel à 14 sols la livre pour les pauvres qui ne sont point imposés », ce qui est un prix excessif. — Le 13 octobre 1793, fermeture de l'église, du presbytère et des écoles, brûlement du chartrier de la Chasseguerre par Marat-Rigaudière, de Lassay, et ses acolytes. — Hardanges fut le lieu de retraite le plus ordinaire de la division des Chouans de Rochambault (Le Métayer), qui de là inquiétait les troupes et les convois sur la route de Mayenne à Alençon.

Maires : Guérif, 1798. — Louis Quentin, 1800, 1804. — Marin Chevalier, 1808. — Pierre Bruneau, 1815. — Marin Éroux, 1818, 1827. — Jean-Baptiste Lebreton, 1828, 1866. — Jean-Charles Pichereau, 1866-1870. — René Éroux, 1871-1875. — Louis Pouteau, 1875-1877. — Auguste Davoust, 1877-1885. — Joseph Davoust, 1885-1889. — Victor Sallard, 1889-1892. — Clément Roncin, 1892-1896. — René Busson, 1896.

Reg. par. depuis 1590. — Montagu, instituteur, Géographie statistique et historique d'Hardanges, et notes mss. — Cart. de la Couture. — Arch. nat., X/2a. 45, non paginé. — Comm. hist. de la M., t. I, p. 31, 63, 64 ; t. II, p. 35 ; t. III, p. 85 ; t. IV, p. 31 ; t. V, p. 157. — Bull. hist. de la M., t. I, p. 210 ; t. VII, p. 355. — Alm. Bernard, mss. — Marquis de Beauchesne, Lassay, p. 74. — Arch. de la M., B. 1.948, 2.142, 2.155 ; L. 114 ; Reg. du Directoire, t. XI. — Lib. fundat., t. II, p. 396. — Arch. de la S., H. 386.
Pour les localités, v. les art. : la Fosse-aux-Sarrasins, la Chasseguerre, le Chevrier, le Layeul.